Et qui pense aux souffrances collatérales?
21 novembre 2011 § Poster un commentaire
Je tiens à nouveau à manifester mon respect et ma compassion envers Catherine Tissier, pour les souffrances qu’elle exprime concernant son expérience de vie, même si je ne peux partager ses interprétations.Leur caractère non-fondé objectivement a, par ailleurs, déjà été largement établi par la justice.
Dans le même temps, je souhaiterais attirer l’attention sur les souffrances occasionnées chez les personnes injustement et gravement mises en causes dans ce procès. Je pense notamment aux deux responsables de l’école Dosnon dont les compétences et le dévouement sont bien connus, tant des élèves et de leurs parents que des autorités locales et de leurs collègues du monde hôtelier.
Je leur souhaite de pouvoir,au plus tôt, tourner la page et se consacrer à ce qui les anime : la promotion professionnelle de jeunes filles dans l’hôtellerie et la restauration.
Béatrice de La Coste
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